Joël Bizingre, associé chez Conix Consulting, publie un post en relation directe avec le chantier PxData. Il exprime une philosophie que nous partageons : l’exploitation de la technologie des x-data (où x vaut « big », « open », « smart », etc.) suppose toujours un effort de « sémantisation ». Pour le dire plus clairement, la donnée n’est utile que quand on retrouve sa signification.
En pratique, on ne peut pas faire l’économie d’un modèle sémantique. L’idée sera même d’anticiper la disponibilité des données et d’enrichir le modèle sémantique de l’entreprise pour pouvoir accueillir plus facilement les données, quand elles se présenteront.
Les entreprises peuvent facilement acquérir des données externes, pour une dépense modique. Cette dépense est tout de même un gaspillage si l’entreprise ne sait pas comment exploiter ces données. La solution passe par un modèle sémantique qui intègre les concepts manifestés par ces données et qui les relie aux objets connus de l’entreprise.
Voir « Data : attention à la panne de sens« .
Ce papier fixe la philosophie qui préside au chantier PxData. Il mentionne, d’ailleurs, deux des procédés disponibles. Le chantier, accompagné par Praxademia, débouchera sur une contribution du cabinet Conix Consulting à Praxeme.